La miséricorde divine sauve un homme en état d’ivresse !
« Aussi longtemps que je vivrais je n’oublierai jamais la grâce de Dieu qui m’a touché une certaine nuit de l’année 1999 ! Alors que j’étais seul et dans un état d’ivresse qui avoisinait les 3 degrés d’alcool dans le sang, j’ai été ramené chez moi dans mon propre véhicule par mes propres…Anges protecteurs ?! »
Un jour moi et mon ami Ahmed alors que nous discutions sur la Miséricorde infinie d’Allah et ses larges bienfaits envers ses serviteurs, ce dernier éclata soudain en sanglots et se mis à pleurer abondamment comme un enfant. Sans connaître les véritables raisons de sa peine, j’ai aussitôt réagi en le soulageant avec quelques termes réconfortants.Une fois revenu à lui, il me fixa des yeux et me dit :
Mon ami, je vais te raconter une histoire que j’ai vécue au courant du mois d’Octobre de l’année 1999. Cette histoire je ne l’ai racontée à personne en dehors de toi. C’est une histoire pleine de sagesse, d’enseignements et de bons sens, je te prie de l’écouter attentivement de l’écrire et de la publier ensuite sur ton Blog. Aujourd’hui et après 12 longues années, mon esprit n’arrive plus à la garder, j’ai décidé aujourd’hui de partager ce secret et ses précieux enseignements avec tout le monde, pour que l’on sache que la miséricorde d’Allah est aussi large et infinie que le ciel et la terre, et que notre Créateur est aussi Miséricordieux envers ses serviteurs que puisse l’être une mère envers ses enfants.
Les parents ils sont très indulgents envers leurs enfants, ils les aiment par-dessus tout, certains se sacrifient même pour eux, ils leur souhaitent tout le bonheur et toute la réussite possible dans ce bas monde, seulement Allah notre Créateur, le miséricordieux, le Tout-miséricordieux nous Aime d’avantage, car Il nous veut une réussite dans cette vie ici-bas et surtout dans l’au-delàs.
Un soir du mois d’Octobre 1999 aux environs de 23 heures du soir, je suis sorti d’un bar qui se trouvait en dehors de la ville et à une vingtaine de Kilomètres de chez moi. Je suis rentré dans l’établissement au début de l’après midi, et j’en suis sorti quelque peu avant minuit. J’étais pour le moins qu’on puisse dire, hors de moi-même, mon état d’ivresse était très grave, j’étais au bord de l’inconscience pour ne pas dire dans un état pré- comateux. J’étais seul, presque tout le monde était parti, et le bar allait fermer.Je me suis difficilement rapproché de mon véhicule et j’y suis monté pareil à un robot.J’étais dans un parfait état d’inconscience .
L’idée de rentrer à la maison, de parcourir une vingtaine de kilomètres d’auto-route et de route nationale, la façon de passer devant deux ou trois postes de contrôle de la gendarmerie postés à chaque carrefour, les risques de la circulation , le croisement des véhicules venant à contre sens sur le tronçon de la nationale, cette idée ne m’a pas effleuré un seul instant, autrement et dans l’état où je me trouvais, j’aurais dû tout simplement m’enfermer dans le véhicule et y passer la nuit jusqu’au matin.
Les seuls souvenirs que je garde à ce jour de cette tragédie, voulà aujourd’hui 12 ans, sont uniquement le fait d’avoir mis le contact, engagé machinalement la première vitesse et tout est resté à ce stade !!! Le rideau entre moi et la vie, était bel et bien tombé. Le Seigneur a voulu qu’à minuit quarante cinq minutes exactes, et selon la version de mes parents qui étaient dehors devant la maison à l’affût de mon arrivée, je suis rentré à la maison sain et sauf. En voyant ma voiture , mes parents et mes frères soulagés interviennent, entourent le véhicule, ouvrent la portière et m’aident à descendre et à rentrer à la maison.
J’étais dans un état secondaire, j’avais réellement quitté ce monde pendant quelques heures. Ce n’est que le lendemain matin que les miens m’apprenaient l’état dans lequel j’étais en arrivant à la maison. Il m’a fallu plusieurs jours pour me remettre et redevenir moi-même. Quant aux conditions dans lesquelles j’ai dû effectuer un trajet de vingt kilomètres, comment je me suis comporté en circulation, comment je suis passé devant les postes de contrôle de la gendarmerie et rentré sain et sauf à la maison, des détails que Dieu seul sait, ils ont été carrément effacés de ma mémoire …!!
Vous me diriez que c’est une véritable énigme ! Je suis d’accord avec vous, vous êtes libre de croire ou ne pas croire ! Pour ma part, j’y crois comme si c’était moi-même qui ai vécu cette mésaventure. Dieu est capable de toute chose et rien au monde ne pourrait empêcher son pouvoir.
Ce jeune a failli mourir en exagérant sur la consommation de l’alcool et Dieu dans sa miséricorde et son indulgence infinie l’a sauvé bien qu’il était dans un état de grand péché, ce péché qu’il a commis dans un état de faiblesse d’âme et de foi. Mais malgré tout ce jeune était croyant, et qu’à la suite de cette épreuve et ce péché, il pourrait regretter, demander pardon et se repentir.Mais un non croyant ou un polythéiste qui associe un partenaire à Dieu est pour ma part un péché encore plus grave , un péché impardonnable.
Seul Allah (سبحانه وتعالى) connait les véritables circonstances de ce mystérieux parcours, quant à l’homme, lui, il les connaitra un jour où tout ce qui est voilé sera dévoilé, tout ce qui est caché sera connu.Voilà une parole sûre, une attestation à laquelle nous ne prêtons malheureusement que peu d’attention. Nos pensées, nos actes, tous nos comportements bons ou mauvais seront dévoilés devant Allah (سبحانه وتعالى) qui nous jugera avec impartialité. Nos faux-semblants, nos mensonges, nos calculs seront démasqués, jusqu’aux derniers, et jugés avec une impartialité divine.Ahmed après cette mésaventure et cette grande épreuve qui l’a d’ailleurs reconduit à Dieu, il s’est repenti sincèrement, et il est aujourd’hui un véritable croyant et un acteur actif dans la voie d’Allah et la propagation de l’Islam.
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